CHAPITRE 4

Chapitre 4

-Kocorikooo!!!
-Mais tais toi! Supplia Borador sans vraiment y croire. Le soleil rentrait à travers les volets de la chambre des garçons, et il avait l’ aire d’avoir grand peine à émerger de leur léthargie. Peut être avait il un peu trop insister sur la boisson de la veille.
Ouvrant à demie ces yeux engourdi, il se repéra dans la pièce. Il découvrit un Krool couché à même le sol, et un Rahk appuyé contre le mur opposé a la porte. Borador se rendit compte que ce dernier était en train de parler.
-…montée la garde pour cette raison.
-Ouais ouais c’ est ça, et les autres sont déjà levés?
-Les femelles et le magicien on avaler un encas et sont en train de se recueillir en haut de la colline bordant le nord du village. Le vieux m’ a charger de vous accompagner lorsque vous aurez ingurgitez quelque chose de consistant, car il n’ y aura pas de pause avant la nuit tombée, et la journée promet d’ être mouvementée.

Après avoir avaler un copieux petit déjeuné à base de saucisson et de pain de mie, ils passèrent chercher Castagne qui demeurait à l’ écurie, puis ils gravirent le monticule de rock et de terre. Le vent frais leur fouettait le visage, chassant les derniers vestiges de leur assoupissement. Malgré la brume matinale qui atténuait leurs visions, ils repérèrent bien vite le trio assit en tailleur, les yeux clos, au sommet de l’ éminence. Ils arboraient un aire solennel et semblaient plongé dans une intense contemplation de leur être intérieur.
Lorsque les nouveaux arrivant furent assez proche pour que le sage puisse percevoir leur présence; il mit fin à ce curieux rituel:
-Nous vous attendions, dit il en se levant difficilement.
Le pauvre homme se massa ses vielles articulations avec quelque gémissement. Décidément, pensa Borador, Maître Clarius est encor plus amoché par le temps que se qu’ il n’ y parait.
-J’ ai pensé vous confier un petit travail pour que vous puissiez apprendre a vous connaître, cela me permettra aussi de tester vos compétence. Le patron de l’ auberge n’ a pas reçu par trois fois ces cargaisons d’ hydromels,suite aux attaques incessantes de bandits de grand chemin. Votre premier travail consistera donc à escorter une caravane. Pour le faire, emprunter la route vers le nord, à l’ opposé d’ ou nous somme arrivé. D’ ici deux miles, un sentier s’ échappera sur la droite, et c’ est après quelque coudé que vous rencontré sur le convoi. Avec un peu de chance, votre seul présence suffira tenir les brigands en respect.

Lorsque les cinq compagnons arrivèrent sur place, ils découvrirent une petite charrette ou y était entassé barils tonneaux, et gourdasses au maximum de la capacité du chariot. Un vieux gnome rabougri et tout ridé était assis sur la souche d’ une énorme chêne. Sa chevelure se faisait rare, et surface de son front avait du triplé depuis sont jeune age. Ces oreilles amochées au fils des ans pliaient sous le poids d’ une masse imposante de grigri qui pendait à leur bout. Ses habilles formait un remarquable assemblage de fourrures, cuirs, et tissus aux moyen de large fils de cuivre. L’ assemblage semblait étisie pour résister à l’ aire glacé des longues routes. Une fine couche de poussière témoignait de la longueur du chemin parcouru depuis son dernier lavage.
Deux chevaux bruns cherchait des baies non loin de l’ attelage. Il fouillait avec leur truffes parmi les mousses et les arbustes qui poussait ça et là.

-Bon, vous êtes l’ escorte qu’ on ma promis? Vous m’ avait l’ aire bien gringalé, je ne sait pas si vous ferez l’ affaire. Enfin, nous verrons bien.
Sans autre forme de procès, il leur tourna le dos et commença à harnaché les chevaux. Un fois chose faite, il fit démarrer le chariot en faisant claquer sa cravache.
-Hu Broutteagogo! Hu Pinedemammouth!
Borador commença a distribuer des ordres:
-Dispersons nous tout au tour, commença il. Castagne devant, si le passage nous ai barré tu pourra courir dans le tas! Les filles, mettez vous sur les cotés du véhicule, votre puissante vison elfique vous permettra peu être de détecter un danger! Rahk, euh, mais ou est Rahk? Il a du nous faire fausse route le sagouin! J’ assurerais donc avec Krool l’ arrière garde.
Le temps que la troupe -à l exception de Rahk- se place, le convoi avait déjà stabilisé sa vitesse à une allure trois bon pat d’ humain par seconde.

Au début, la troupe fut sur le qui-vive; fouillant les buissons, cherchant dans les sous bois près de la route; se sentant près à toutes éventualité. Borador avait même part deux fois donnait l’ alerte après qu’ il lui ai semblé voire des taillis bouger. Il s’ était avérer que la cause en était tout d’ abord un petit lièvre gris -qui se fit déchiqueter et avaler vivant de manière peut ragoûtante par Castagne-, puis n’ aillant trouver aucune raison pour la deuxième alerte, la troupe le mire sur le compte su vent.
Suite à ces maladresses et au silence gênant qu’ elle engendrait, la lassitude s’ installa peu à peu sur le groupe de compagnons.
A une heure ou le soleil avait largement dépasser le zénith, Castagne senti l’ odeur de la sueur de raz, et bien qu’ elle lui paru intrigante en ce lieu, il ne daigna faire part de cette découverte à aucun. Elirïa entendit le bruissement de feuilles écrasées, tandis qu’ Edrïa perçu une branche oscillé mais aucune ne le précisa à la compagnie. Peut être une meilleur communication leur aurait permit de comprendre le danger qui les guetter à ce moment là, mais se fût grâce à Krool qu’ ils évitèrent le pire.
Celui-ci fut pris d’ un soudain désir de faire ces besoins naturels, et après l’ avoir bravement expliquer au conducteur il se pressa dans le sous-bois.
-Doux Broutteagogo! Doux Pinedemammouth!
Borador faisait les cents pas, allant voir chaque un pour leur demandait si tout se passé pour le mieux. Il fini par Castagne, bien qu’ il n’ avait aucune envi de parler à cette brute épaisse. Ce dernier fini par lui montrer quelque chose par terre. Bien qu’ il ne vit rien au premier abord, il fini par ce baisser et découvrit un empreinte de sabot sur la terre meuble. Non loin, quelques touffes d’ herbes étaient aplati. Son cœur se mis à battre à tout rompre, il deviner l’ embuscade un peu plus loin sur la route.
-Ne regarde plus ces traces, ils peuvent peut être nous voir. Et suis moi calmement, nous allons rejoindre les autres, dit il tout bas en commencent à marché le plus naturellement qu’ il pu vers la carriole qui n’ avait pas avancer jusqu’ à l’ orc.
Bien que le trajet lui paru particulièrement long, il parcouru les quelques mètres qui le séparait des autre en un rien de temps. Une fois arrivait, Castagne sur ses talons, il passa raconter la nouvelle à chaque âme présente. Bien entendu, il se retrouver bloquer ici, en attendant le retour de Krool…

Sentant Castagne de plus en plus nerveux, Borador décida de l’ occuper en lui donnant un travaille.
-Regarde mon gros, et fait comme moi. Je prend un morceau de la charrette, dit il en prenant une latte d’ un volet. Et je la plante dans la terre, en direction extérieure du chariot. Nous allons faire un cercle grossier que nous épaissirons si nous en avons le temps…
Bien que chaque un sache que ce travail serait probablement inutile, il se mire à l’ ouvrage à défaut de n’ avoir rien de mieux à faire.
La peau verte se montrer d’ une redoutable efficacité, arrachant à la force des bras -et parfois à l’ aide de ces énormes crocs- la quasi totalité des composants de la charrette. Il était clair qu’ il ne pourrait repartir comme il était venu.
-Et si nous brûlons ce satané breuvage? Émit Elirïa. Il nous laisserons probablement, ne sachant quoi tiré de nous!
-Détrompe toi, répondit le gnome. Par excès de rage ils violeront des femmes et torturerons les hommes, avant de tous nous abattrent.
Ces paroles lancèrent un froid sur la troupe, qui s’ affaira à chercher Krool a travers le feuillage. Se fut a ce moment, que Krool revint, tout souriant.
-Krool, viens la! Dépêche toi! Lui lança Borador.
Ce dernier accouru, ne sachant pour quel raison la caravane était en cet état là.


Le groupe enfin au complet, ils étaient près à se battre.